Des études ont montré que les conducteurs en colère prenaient plus de risques et avaient plus d’accidents. La colère altère notre vision périphérique et diminue notre champ de vision. On pourrait donc regarder droit devant nous et ne pas voir un piéton ou un autre véhicule qui viendrait de l’autre côté de la rue.
Si on doit absolument conduire alors qu’on est en colère, on se rappelle bien que notre champ de vision n’est pas le même que lorsque nous sommes dans notre état normal, et on est doublement vigilant en tournant bien la tête à chaque intersection.
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